Die with a smile
Notre ami Harrisson s’est enfin lancé dans la production intensive sur son blog Die With a Smile où il raconte son long séjour à Berlin. Avec photos. Il s’y confirme qu’il est non seulement graphiste mais aussi poète quand il parle d’asperges à la flamande et de chutes à vélo. Pendant ce temps-là mes amis Julie et Luc partent à Toronto, déplacés par l’industrie du jeu vidéo. Bruxelles se vide. Vu hier, ‘Any way the wind blows’ de Tom Barman ne donne pas pour autant envie d’aller à Anvers.