24eBIFFF : The descent ; Isolation
Ce qu’il y a d’extraordinaire au BIFFF, c’est qu’on y va en sachant que c’est pour le meilleur mais aussi pour le pire. Sans jamais savoir ce qui sera le meilleur et ce qui sera le pire. Ce que l’on attend impatiemment, avec une envie incroyable, se révèle plat et sans saveur, voire avec un arrière-goût de déjà vu et de pas digéré. Ce que l’on va voir avec des pieds de plomb, en se disant qu’au pire, on sortira pendant le film (même si ça ne nous arrive jamais), tient du miracle et nous enthousiasme au-delà de toute espérance, sous l’œil souvent sceptique de ceux qui ne s’y sont pas aventurés, eux, de peur de s’y ennuyer à mourir. Donc, voilà . Une fois de plus, pas de déception, pas de regrets, juste des choses lamentables et des points culminants.
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