<< Constant Index

Archive for April, 2008

René Follet

Category: BD, illustration

follet

René Follet, un des plus grands dessinateurs de bd, souvent considéré comme maudit et oublié, a quand même de nombreux fans. Parmi eux, une bande d’espagnols hystériques qui n’arrêtent pas de poster des images toujours très belles et parfois fort rares sur ce sujet de forum. Il y a de quoi y passer quelque temps (et encore plus si on lit l’espagnol).

Capsicum

Category: BD

L’hebdomadaire flamand Knack commence à publier, dans le cadre d’un concours, la BD dessinée par mon ami Wauter (et écrite par moi). Pour ceux que ça intéresse, on peut la lire en ligne (il n’y a pour le moment que la première page, les trois suivantes arriveront les trois mercredis qui viennent). On peut aussi voter et donner son avis. Et ça s’appelle Capsicum.

Edgar Allan Poe – Harry Clarke

Harry ClarkeDepuis une semaine, Golden Age Comic Book Stories sombre dans une véritable obsession Edgar Allan Poe, égrainant des dizaines d’images morbides de Reed Crandall, Corben, Sutton, Wrightson, Virgil Finlay, mais aussi des affiches de films, une parodie de Will Elder parue dans Mad, et surtout les silhouettes émaciées et torturées de Harry Clarke.

Thomas Function

Category: Sounds

Le disque qui change tout, ces jours-ci: Celebration, de Thomas Function, du power pop à solide tendance “montons danser sur la table”, avec une voix crispante juste ce qu’il faut. C’est la fête, mais pas tout à fait la fête, ça grince un peu. Une merveille.

Tales of the Green Beret

Category: comic strip

Hasards de la vie, les libraires qui tiennent l’excellent Aaablog relisent les Bérets Verts de Joe Kubert en même temps que moi, et en parlent mieux que je ne saurais le faire:

“Si, format strip oblige, le découpage du maître ne peut ici être aussi inventif que dans son Enemy Ace, créé à la même époque pour DC comics (publié en France dans un magnifique album des éditions du  Fromage, sous le titre Le Baron rouge, 1978) il reste très captivant par la succession de plans d’ensemble et de gros plans, par la simple efficacité de ses cadrages. Les qualités graphiques de Kubert fluidifient en effet une narration qui souffre de ce rythme si particulier des récits en strips : une progression par bonds elliptiques qui évoque le diaporama.”

Joe Kubert semble avoir à peu près disparu de l’imaginaire des amateurs de BD et c’est dommage.